Jardins Celestes

À la périphérie de Lille, dans un triangle délimité par une autoroute et une voie ferrée, se trouvent un jardin botanique et un observatoire astronomique. Entre les carrés de fleurs et les serres tropicales, se dressent les vestiges de ce qui ressemble à un vaisseau échoué, le squelette de l’ancienne serre équatoriale.

De ces visions surgissent un écho lointain, peut-être la voix de Freeman Lowell, personnage du film Silent Running de Douglas Trumbull (1972) : In the not-so-distant future, plant life have disappeared from the surface of the planet. There is no more beauty, and there's no more imagination. And there are no frontiers left to conquer. It calls back a time when there were flowers all over the Earth... and there were valleys. And there were plains of tall green grass that you could lie down in - you could go to sleep in. And there were blue skies, and there was fresh air... and there were things growing all over the place, not just in some domed enclosures blasted some millions of miles out in to space.

C’est dans cette zone hétérotopique qui abrite de multiples réalités, matérialités, échelles et scénarios que nous allons nous immerger cette année. Inventorier, collecter, capter, enregistrer, transformer ? De nombreuses stratégies individuelles et collectives seront envisagées pour aborder les multiples histoires, réalités et imaginaires du lieu.

[ Workshop croisé entre étudiants du Fresnoy, de l’ESA Tourcoing, et du master Arts de l’Université de Lille ]

[ OEUVRES EXPOSÉES ]

  • Roseaux, installation audiovisuelle, projection vidéo-mapping sur mur et huit roseaux ( 3x1m )

  • Exploration, photographie de bambou, impression sur papier.

 
Précédent
Précédent

Exposition “CONTEMPLATION”

Suivant
Suivant

LIMINAL SPACES - artconnexion